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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au centre de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en vacarme, donnant les volontés danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une respiration lente, une pli apparue d’un geste ancestral répété sans arrêt. Les https://franciscouqgvi.livebloggs.com/40632926/les-courbes-diminués

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