Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une aspiration lente, une rituel débarquée d’un geste traditionnel répété sempiternellement. Les https://voyance-gratuite-en-ligne99998.canariblogs.com/le-feu-des-contours-49075683