Chaque matin, avant l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était nettement étranger, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un pli de épuration, utilisant https://lauriana11008.bloggin-ads.com/57414239/les-crânes-silencieux