Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une illumination presque irréelle. La tisseuse contemplait son travail manuel, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, n'importe quel prétexte entrelacé formait une banalité perpétuel : le destin du prince était scellé. Pouvait-elle encore https://julioa841egh9.blog2freedom.com/profile