Dans l’atelier de reliure, la jour tremblante des chandelles faisait danser des obscurités sur les murs en pierre. L’odeur du cuir tanné et de l’encre fraîche flottait dans l’air, imprégnant chaque recoin du petit usine romain où le relieur travaillait journaliers avec une rigueur presque ultimatif. Il n’avait jamais refusé https://paxtonfiwis.activoblog.com/36620795/la-reliure-des-âmes-dispersées