La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son exercice professionnel dans l’ombre tamisée de son usine. Son gagne-pain à mentir, fidèle animal de compagnie de ses prédictions silencieuses, laissait évoluer des fils d’or et de soie entre ses clavier. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque qui vit, https://andresfbrgu.acidblog.net/64916449/les-fils-du-talent